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AVAILLES-LIMOUZINE (86)

La presse ancienne à Availles-Limouzine

Publié le 05/07/2019 à 23:06 par mariepierre86 Tags : centerblog image presse

La Charente 14 octobre 1876

 

 

 

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La Petite presse 7 juin 1881

 

 

 

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L'Intransigeant 31 mai 1881

 

 

 

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Le Petit Parisien 20 janvier 1899

 

 

 

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L'Écho 29 mai 1941

 

 

 

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Hommage aux victimes et natifs d'Availle Limouzine

Publié le 10/06/2018 à 17:35 par mariepierre86 Tags : france femme société travail mort sur dieu fille saint image centerblog
GALBOIS Robert, Charles

 

 

Né le 30 octobre 1923 à Availles-Limouzine (Vienne), exécuté sommairement le 17 juin 1944 à Availles-Limouzine (Vienne) à l'âge de 21 ans ; mécanicien ; résistant maquis AS.

 

Robert Galbois était le fils de Pierre Galbois et Jeanne, Albertine Guyonnet. En 1944, célibataire, il était domicilié sur la commune d’Availles-Limouzine et exerçait la profession de mécanicien.

 

Il s’engagea dans la résistance et intégra l’un des nombreux maquis en formation dans l’est et le sud du département de la Vienne. Il rejoignit vraisemblablement dans le secteur de l’Isle-Jourdain (Vienne) le maquis « Adolphe » rattaché au départ à l’ORA (Organisation de Résistance de l’Armée), puis après le 6 juin 44 réuni à l’AS, sous le commandement du Capitaine Blondel (groupement D du sud de la Vienne). Robert Galbois occupait la fonction d’agent de liaison entre les différents maquis AS du secteur. Le 17 juin 1944.

 

Alfred Louvain, un résistant actif décida de procéder à une opération de sabotage des signalisations routières afin de perturber les déplacements des troupes allemandes. Il se fit accompagner de Robert Galbois. Ils furent peu après renforcés par deux jeunes réfractaires du STO cachés à proximité, Raymond Boutetet Louis Lefevre. Ils entreprirent de rendre illisibles les indications routières entre Availles-Limouzine et Le Vigeant.

Ils furent alors surpris par une unité allemande. Fouillé, Alfred Louvain fut trouvé en possession d’une arme. Les quatre résistants dont Robert Galbois furent conduits en camion quelques kilomètres plus loin, interrogés, frappés puis exécutés sommairement au lieu-dit La Croix de Boisse, un carrefour de routes au sud du Vigeant.


Robert Galbois obtint la mention mort pour la France et fut homologué FFI en octobre 1945.

 

Son nom est inscrit sur le monument aux morts d’Availles-Limouzine.

 

Un monument fut dressé après la guerre au carrefour de la Croix de Boisse pour commémorer son souvenir et celui de ses trois camarades.

 

 

 

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LOUVAIN Alfred Valentin

 

Né le 27 septembre 1914 à Sonzay (Indre-et-Loire), exécuté sommairement le 17 juin 1944 à Availles-Limouzine (Vienne) à l'âge de 30 ans  ; militaire de l’armée d’armistice ; résistant maquis AS.

 

Alfred Louvain était le fils d’Alfred, Louis, Luc Louvain et de Victorine, Valentine Pierret. Il était marié avec Emma Paris.

 

Combattant de 1939 – 1940, il poursuivit son engagement dans l’armée d’armistice à l’été 40. Un régiment de cette armée d’armistice, le 72e Régiment d’Artillerie fut stationné au camp de la Rye, sur la commune du Vigeant (Vienne), en zone libre mais à proximité de la ligne de démarcation. Alfred Louvain y était sous-officier et était domicilié sur la commune voisine d’Availles-Limouzine où son épouse exerçait la profession d’institutrice.

 

Fin novembre 1942 après l’invasion par les troupes allemandes de la zone libre et la dissolution de l’armée d’armistice, Alfred Louvain se retrouva sans profession mais resta domicilié à Availles-Limouzine. Il s’engagea dans la résistance et intégra l’un des nombreux maquis en formation dans l’est et le sud du département de la Vienne. Il rejoignit vraisemblablement dans le secteur de l’Isle-Jourdain (Vienne) le maquis « Adolphe » rattaché au départ à l’ORA (Organisation de Résistance de l’Armée), et qui regroupait donc de nombreux militaires démobilisés puis après le 6 juin 44 réuni à l’AS, sous le commandement du Capitaine Blondel (groupement D du sud de la Vienne).

 

Le 17 juin 1944, Alfred Louvain, résistant actif décida de procéder à une opération de sabotage des signalisations routières afin de perturber les déplacements des troupes allemandes. Accompagné d’un jeune agent de liaison du maquis, Robert Galbois, originaire d’Availles, et bientôt renforcés par deux jeunes réfractaires du STO cachés à proximité, Raymond Boutetet Louis Lefevre, ils entreprirent de rendre illisibles les indications routières entre Availles-Limouzine et Le Vigeant.

 

Ils furent alors surpris par une unité allemande. Fouillé, Alfred Louvain fut trouvé en possession d’une arme. Les quatre résistants furent conduits en camion quelques kilomètres plus loin, interrogés, frappés puis exécutés sommairement au lieu-dit La Croix de Boisse, un carrefour de routes au sud du Vigeant.


Alfred Louvain obtint la mention mort pour la France et fut homologué FFI et DIR (interné-résistant).

 

Son nom est inscrit sur les monuments aux morts de Couesmes et de Brèches en Indre-et-Loire.

 

Un monument fut dressé après la guerre au carrefour de la Croix de Boisse pour commémorer son souvenir et celui de ses trois camarades.

 

 

 

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AUGRY Louis

 

Né le 25 juin 1924 à Availles-Limouzine (Vienne), mort au combat ou exécuté en représailles le 4 août 1944 au Vigeant (Vienne) à l'âge de 20 ans  ; ouvrier agricole ; résistant, maquis AS de la Vienne.

 

Louis Augry était le fils de Louis Augry et de Juliette Bardet. En 1944, il était célibataire et était domicilié au hameau de Brégoux, au sud de la commune de Millac, proche du Vigeant et de l’Isle-Jourdain, où il travaillait comme ouvrier agricole.


Il s’engagea dans la Résistance et rejoignit un maquis de l’Armée Secrète de la Vienne, vraisemblablement le maquis « Adolphe B » de l’AS installé autour de l’Isle-Jourdain rattaché au Groupement « Michel » ou « secteur D » (commandant Blondel) de la Vienne.

 

Il faisait partie d’un détachement de renfort qui se heurta à une colonne allemande (la section rapide SS n° 608 du 80e corps d’armée de la Wehrmacht, renforcée par des Feldgendarmes et des miliciens) à la sortie du Vigeant le 4 août 1944.

 

En fin de matinée, vers 11h, la colonne allemande de répression fut attaquée par la Résistance à 3 km au sud du Vigeant au bois de Larreau. Peu après, deux sections des maquis locaux de l’AS envoyées en renfort à partir de l’Isle-Jourdain, furent interceptées lors de leur arrivée au Vigeant vers 13 heures 45.

 

Les maquisards surpris, sautèrent des camions et ouvrirent le feu mais six d’entre eux pris sous le feu de l’ennemi furent tués presque immédiatement dans le combat. Alors que les occupants du deuxième camion, arrêté avant l’entrée du bourg, parvinrent pour la plupart en combattant à se replier vers les bois proches, plusieurs maquisards du premier camion immobilisé dans le bourg, parfois blessés, tentèrent de s’y disperser et de s’y cacher.

 

Les unités allemandes procédèrent alors à des perquisitions et des fouilles d’une grande violence, arrêtant et exécutant sur le champ les maquisards ainsi que des civils, incendiant des maisons (23) et regroupant des civils pris en otages avant de les fusiller en représailles avec plusieurs résistants près du cimetière.

 

Le sort précis de Louis Augry reste inconnu : mort en combattant ou plus vraisemblablement exécuté sommairement après avoir été capturé (selon mémorial genweb). 


Il obtint la mention mort pour la France et fut homologué FFI.

 

Son nom est inscrit sur le monument aux morts de Millac.

 

Il figure aussi sur la plaque commémorative du Vigeant, face au cimetière, dédiée aux « Résistants et victimes civiles du 4 août 1944 ».

 

 

 

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BONNET Jean

 

Né le 12 mars 1906 à Availles-Limouzine (Vienne), mort le 23 octobre 1942 à l’hôpital de la Pitié à Paris XIIIe arr. (Seine) à l'âge de 36 ans ; agent des services hospitaliers ; militant communiste.

 

Fils de Louis Bonnet, cultivateur et de Marie, née Caillaud, Jean Bonnet épousa Catherine Blois,le 22 avril 1930 à Asnières-sur-Blour (Vienne). Le couple eut une fille, la famille vint habiter 89 rue Myrha, à Paris XVIIIe arr. Le 23 juillet 1931 il fut embauché comme agent des services hospitaliers de l’assistance publique. Sa femme Catherine employée de l’administration générale de l’assistance publique était affectée à l’hôpital Bichat. Jean Bonnet travailla d’abord à l’Hôtel Dieu, puis à l’hôpital Laennec, il adhéra au Parti communiste sur son lieu de travail, participa pendant la guerre à la distribution de tracts.

 

Le 15 septembre 1942, un collègue de travail Gaston Père, l’un des auteurs d’une attaque contre un encaisseur de la société Matra à Aubervilliers, était appréhendé à Saint-Denis. Frappé dans les locaux des Brigades spéciales, il parla de Jean Bonnet, le présenta comme le responsable de la 7e section du parti communiste clandestin. 


Jean Bonnet fut arrêté par trois inspecteurs de la Brigade spéciale n° 2, le 16 septembre sur son lieu de travail, son vestiaire fut fouillé, les policiers saisirent deux numéros de l’Humanité clandestine (août, septembre 1942), trois carnets d’adresses et trois feuillets manuscrits, sa femme fut interpellée le 18 septembre. 


Les inspecteurs le tabassèrent avec violences : coups de poings, coups de pieds, matraquage à coups de nerfs de bœuf. Sa femme qui était détenue dans les locaux de la préfecture de police eut de ses nouvelles par un gardien de la paix, il l’informa que son mari était frappé. Elle déclara après la Libération :

 

« En cachette avec la complicité d’un autre agent, j’ai pu me rendre auprès de mon mari. J’ai pu voir alors qu’il avait le visage boursouflé, les yeux abimés et qu’il paraissait beaucoup souffrir des reins ».

 

Elle ignorait les noms de de ceux qui martyrisèrent son mari. Mise hors de cause, mais maintenue en détention, elle fut libérée le 28 décembre 1942. 


Le 27 septembre, il était remis aux Allemands du Sonderkommando IV à l’hôtel Bradford, puis incarcéré à la prison de Fresnes (Seine, Val-de-Marne).

 

Le 13 octobre, il était transporté d’urgence dans un état très faible à l’hôpital de la Pitié, il y mourut le 23 octobre.

 

Un soldat de la Wehrmacht fit la déclaration de décès le 27 octobre 1942 en début d’après-midi à la mairie du XIIIe arr. 


Une infirmière qui faisait fonction d’interprète témoigna le 11 décembre 1944 devant la commission d’épuration de la police. Alité à l’hôpital de la Pitié, Jean Bonnet ne se nourrissait pas, les Allemands demandèrent à l’interprète d’insister auprès de lui pour qu’il accepta de se nourrir. Jean Bonnet lui répondit : « Ce n’est pas que je refuse, mais je ne peux pas ». Un médecin allemand l’examina, il constata : « Ce n’est pas étonnant qu’il ne puisse manger on lui a défoncé le thorax à coups de pieds ». 


Après sa mort, un inspecteur de police mena une enquête sur les causes de la mort de Jean Bonnet. Un commandant allemand lui déclara : « Le malade est mort le thorax défoncé par les Français ».

 

L’infirmière interprète confirma :

« À mon avis [Jean Bonnet] avait été frappé par les Français, car lorsque les Allemands torturaient un Français, il était incinéré sans nom et ils n’avaient pas l’habitude de rendre le corps à la famille. Nous avons eu plusieurs cas semblables ». 


Catherine Bonnet témoigna le 24 mars 1945, son mari ne lui avait pas dit avoir reçu des coups. Cependant lorsqu’elle récupéra ses vêtements à l’hôpital de la Pitié, ils portaient des traces de sang. Elle porta plainte contre les inspecteurs qui arrêtèrent son mari et ceux qui s’étaient livrés à des sévices.

 

Son certificat de décès porta la mention « Mort pour la France » par décision du Secrétariat général des anciens combattants en date du 23 octobre 1945.

 

Il fut reconnu comme interné résistant, FTP et adjudant FFI à titre posthume. 


Inhumé au cimetière de Thiais (Seine, Val-de-Marne), le corps de Jean Bonnet fut exhumé le 17 janvier 1950 et ré-inhumé au cimetière parisien d’Ivry-sur-Seine (Seine, Val-de-Marne) dans le carré des fusillés, division 39, ligne 4, tombe 81.

 

 

 

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Histoire en photos

Publié le 29/12/2017 à 00:13 par mariepierre86 Tags : image centerblog femme photos

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Sources photos : Jerrycathyetal – Regissierra – Robin Poitou – Franceballade – Tourisme Availles Limouzine – Généanet – Reiz – Delcampe – Priceminister – Ebay – Archive départementale de la Vienne-



Histoire en photos ( suite )

Publié le 29/12/2017 à 00:10 par mariepierre86 Tags : centerblog image

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Histoire en photos

Publié le 29/12/2017 à 00:04 par mariepierre86 Tags : centerblog image sur

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Ancêtres liés à la commune

Publié le 28/12/2017 à 23:58 par mariepierre86 Tags : fille centerblog image enfants bonne

BOUTY Adolphe, arrière cousin maternel par alliance de 2e génération fils de BOUTY Jean et de BLET Marie. Né dans la commune le 21 avril 1876.

 

Il épouse en 1903 BELLICAUD Marie, Eugènie.

 

Il a exercé les métier de domestique et journalier.

 

Sa fiche matricule le décrit châtain et des yeux gris. Il mesure 1 m 67.

Il a participé à la Campagne contre l'Allemagne.

 

Parcours militaire : 

Appelé à l'activité le 15 novembre 1897 et soldat 2e classe.

Envoyé dans la disponibilité le 20 septembre 1899.
Certificat de bonne conduite accordé.

 

Passé dans la réserve de l'armée active le 1er novembre 1900.

 

Rappelé à l'activité par décret de mobilisation du 1er août 1914 le 7 août 1914.

 

Passé au 85e Régiment d'Infanterie le 9 mars 1916.

 

Renvoyé dans ses foyers ( père de 6 enfants) désaffecté du 85e Régiment Territorial d'Infanterie et affecté au 90e Régiment Territorial d'Infanterie.

 

 

En 1935 ils reçoivent la médaille de bronze de la famille, ils ont eu 6 enfants.

 

 

 

 

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JALLADEAU Félicité, arrière cousine maternelle 3e génération. Décédée le 2 février 1946 à Availles - Limouzine.

 

 

 

 

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LEFORT Germaine, arrière cousine maternelle 2e génération. Décédée le 11 janvier 1963 à Availles - Limouzine.

 

 

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MICHAUD François, arrière cousin maternelle par alliance de 4e génération, né à Availles-Limouzine le 22 octobre 1845 fils de MICHAUD Paul et de CHÉBOT Radegonde

 

Il  épouse en 1870 BÉZAGUET Françoise, Ursule.

 

Il a exercé les métiers de Maçon - Tuilier et épicier.

 

Sa fiche de conscrit indique qu'il mesurait 1 m 64.

 

 

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MORILLON Jean, arrière cousin maternel 4e génération. Décédé à Availles - Limouzine le 8 janvier 1869. 

 

 

 

 

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TROMAS Marie, Augustine, arrière cousine maternelle 4e génération fille de TROMAS François et de CHAUVET Marguerite. Née le 5 mai 1868 à Availles-Limouzine.

 

Elle épouse en 1892 MARTIN Jean-Baptiste, Firmin.

 

Elle était servante de métier.

 

 

 

 

 

 

 

 



Personnalités liées à la commune

Publié le 28/12/2017 à 23:50 par mariepierre86 Tags : image monde homme centerblog

René, Roger, Simon TAMARELLE, homme politique né le 31 décembre 1900 à Availles-Limouzine.

 

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Johnny GRIFFIN, saxophoniste de renom.

 

 

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Alain RENOUXdeux fois champion du Monde de cyclisme handisport (1986-1990).

 

 

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Adrien VEILLONMédecin et bactériologiste français. Met au point une technique de culture des bactéries anaérobies dit "tubes de Veillon". Il met en évidence le bacille de la gangrène gazeuse.

 

 



Monuments

Publié le 28/12/2017 à 23:38 par mariepierre86 Tags : image centerblog maison

Ruines du château.

 

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La Pierre Fade : Le menhir a été classé comme monument historique en 1889.

 

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Maison rue Adrien-Veillon : Cette maison est inscrite comme  monument historique depuis 2002.

 

 

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La grande croix

 

 

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Les Fontaines Salées

 

 

 



Availles-Limouzine dans la presse

Publié le 28/12/2017 à 23:28 par mariepierre86 Tags : chien chiens image centerblog chez article femme mort divers animal enfant maison

Un cadavre dans la Vienne à Availles-Limouzine ,Il y a 1 siècle, fait divers.

 

Article  de l'Avenir de la Vienne du 14/10/1917.

 

Un cadavre dans la Vienne. Le 13 courant, M.Fléchier, propriétaire à Chez-Bouchet, pêchait avec son fils dans la Vienne, lorsque vers midi 1/2 en retirant son engin de pêche, il ramena à la surface le cadavre d’une femme inconnue dans la commune d’Availles. Les autorités étant prévenues une note a été envoyé dans les communes en amont d’Availles pour signaler cette découverte. Le docteur Chabrier appelé à faire les constations, a déclaré se trouver en présence d’une femme de 45 à 50 ans, ne portant aucune trace de blessures graves dont la mort par immersion devait remonter à 4 jours au plus.

 

 

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Availles-Limouzines, mort accidentelle.

 

Article du 2 novembre 1914.

 

Mort accidentelle. Le 27 octobre, vers 5 heures du soir, les époux Bardet Pierre, cultivateur au village des palisses, commune d'Availles-Limouzine, s'apercevaient de la disparition de leur petit fils, Louis Paul Sennevoine, âgé de 31 mois, qu'ils élèvent depuis sa naissance. Ils se mirent à sa recherche et le retrouvèrent dans une fosse distance de 15 mètres de la maison. Mr Bardet Pierre retira de l'eau l'enfant qui avait cessé de revivre.

L'enfant a dû tomber dans la fosse au moment où personne ne se trouvait dans la cour de la ferme.

L'enquête de la gendarmerie à conclu à une mort accidentelle.

Le docteur Chabrier, d'Availles-Limouzine, a constaté la mort.

 

 

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L'avenir de la Vienne du 03 février 1916.

 

Chien enragé à Availles-Limouzine.

 

Chien suspect. Un chien présumé atteint de la rage, a été abattu le 24 janvier, au village de la mondie, commune d'Availles-Limouzine.

Les chiens mordus par cet animal ont été également abattus.

 

 

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Économie

Publié le 28/12/2017 à 23:24 par mariepierre86 Tags : 2010 sur image centerblog

Selon la direction régionale de l’Alimentation, de l'Agriculture et de la forêt de Poitou-Charentes, il n'y a plus que 41 exploitations agricoles en 2010 contre 55 en 2000.

 

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Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 4 436 hectares en 2000 à 4 266 hectares en 2010. 35 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre, orges et maïs), 6 % pour les oléagineux (colza et essentiellement du tournesol) , 32 % pour le fourrage et 20% reste en herbes.

 

 

 

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13 exploitations en 2010 comme en 2011 abritent un élevage de bovins mais avec un nombre de bêtes beaucoup plus important :

1 347 têtes en 2010 contre 959 têtes en 2000. C’est un des troupeaux de bovins les plus importants de la Vienne qui rassemblent 48 000 têtes en 2011.

28 exploitations en 2010 (contre 39 en 2000) abritent un élevage d'ovins (13 929 têtes en 2010 contre 18 335 têtes en 2000).

 

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Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007.

L'élevage de volailles et de chèvres ont disparu en 2010 (respectivement 594 têtes réparties sur 25 fermes en 2000 et 422 têtes sur 3 exploitations).

 

 

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