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bonjour,lorsqu 'on parle de la rafinière on pense bien sur au gl rivaud et ce ,à juste titre mais on oublie to
Par ph.de FLEURY, le 13.07.2025
stephane lagache petit fils par ma grand mere de charles debarge
Par Anonyme, le 04.07.2025
qui ils reposent en paix ne jamais
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vies pour nous contre les criminels
naz
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fa brice d'audrieu
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c est mon arrière grand pété et la grand mére
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Né le 22 septembre 1910 à Saint-Léger (Pas-de-Calais), fusillé le 22 décembre 1943 à Arras (Pas-de-Calais) à l'âge de 43 ans; cultivateur ; maire ; résistant au sein du réseau W.O.
Fils de Jean Baptiste Miséron et de Aline Hersent, cultivateurs, Constant Miseron s’était marié le 2 juin 1934 à Marles-les-Mines (Pas-de-Calais) avec Sophie Cheval et était domicilié à Saint-Léger.
Arrêté le 27 novembre 1943 à Saint-Léger par la Geheimfeldpolizei (GFP) pour "détention et fournisseur d’armes aux organisations de résistance", il fut condamné à mort par le tribunal militaire allemand de Lille (FK 678) le 22 décembre 1943 et fusillé le jour même.
Une rue porte son nom à Saint-Léger (62)
CANDAS Serge
Né le 24 août 1921 à Auchel (Pas-de-Calais), fusillé le 17 juin 1942 à Arras (Pas-de-Calais) à l'âge de 21 ans ; mineur à la Compagnie des mines de Marles ; dirigeant des Jeunesses communistes de Saint-Pierre-les-Auchel (Pas-de-Calais).
Fils de Jules Candas, mineur, et de Solange Chatelain, ménagère, Serge Candas était célibataire et domicilié au 10 rue de Thiers à Auchel au moment de la Seconde Guerre mondiale.
C’est à partir de l’Occupation que Serge Candas s’engagea dans les Jeunesses communistes clandestines, avec la responsabilité des jeunes de Saint-Pierre-les-Auchel.
Affilié au Parti communiste depuis janvier 1942, Serge Candas fit partie de la section d’Auchel et s’occupa de la distribution des tracts. Il fut par la suite chargé du matériel que lui remettait Joseph Mattéïpar l’intermédiaire de Jean Treffier, ce qui laisse supposer que Serge Candas était à ce moment-là le responsable « O » [Organisation] de la section d’Auchel. Serge Candas participa un peu plus tard à l’attentat contre le commissaire de police d’Auchel.
Poursuivi depuis le 31 mai 1941 pour distributions de tracts, Serge Candas fut arrêté à Auchel le 20 avril 1942 en possession d’un revolver, de munitions et de documents sur l’organisation communiste des secteurs d’Auchel, de Marles et de Bruay.
Condamné à mort, Serge Candas fut exécuté le 17 juin 1942 à 20 h 30 à la citadelle d’Arras.
DELFLY Marcel
Né le 20 juin 1901 à Merville (Pas-de-Calais), fusillé le 8 septembre 1941 à Arras (Pas-de-Calais) à l'âge de 40 ans ; mineur ; militant communiste, membre de l’Organisation spéciale (OS).
Militant communiste et syndicaliste actif avant guerre, Marcel Delfly fut, avec Alfred Delattre et André Léfebvre, le compagnon d’armes de Charles Debarge et une figure de la Résistance à Harnes (Pas-de-Calais).
En juin 1940, il prit l’initiative de constituer des dépôts d’armes récupérées en prévision des futurs combats. Marcel Delfly joua un rôle important dans la grande grève des mineurs en mai-juin 1941, ce qui lui valut d’être recherché par la police. Il entra alors dans la clandestinité, laissant son épouse, Agnès Delassus, et ses quatre enfants.
Avec le groupe de l’Organisation spéciale, dirigé par Charles Debarge, Marcel Delfly tenta le 2 juillet 1941 de saboter la centrale électrique de Courrières (Pas-de-Calais).
Un peu plus tard, on retrouvait les mêmes hommes dans le sabotage d’un pylône haute tension qui, en tombant, paralysa le chemin de fer de la Compagnie des mines de Courrières.
Arrêté le 6 août 1941 à Harnes par la Geheimfeldpolizei (GFP) pour "attentats répétés au moyen d’explosifs et incendies volontaires", il fut condamné à mort le 28 août 1941 par le tribunal militaire allemand (OFK 670) et exécuté avec ses deux compagnons, Charles Debarge, à la citadelle d’Arras le 8 septembre 1941.
DE LIMA Albert
Né le 25 juillet 1923 à Saint-Hilaire-Cottes (Pas-de-Calais), fusillé le 3 novembre 1942 à Arras (Pas-de-Calais) à l'âge de 19 ans ; mineur aux mines de Bruay (Pas-de-Calais) ; membre des Jeunesses communistes de Divion et des FTPF.
Fils de Joseph et de Jeanne Lanniaux, Albert De Lima adhéra aux Jeunesses communistes de Divion avant guerre.
Sous l’Occupation, il poursuivit son militantisme dans l’organisation clandestine du Parti communiste en rejoignant les FTP.
Après plusieurs actions de sabotage, Albert De Lima fut recherché activement après un attentat contre un gardien de la paix dans la nuit du 11 au 12 août 1942.
Arrêté le lendemain, le 13 août, par la police française de Divion pour "menées communistes et détention d’armes", Albert De Lima fut réclamé par les Allemands (OFK 670) qui le jugèrent à Arras le 22 octobre 1942 et le condamnèrent à mort pour "vol à main armée, complicité d’acte de sabotage et menées communistes". Albert de Lima a été fusillé le 3 novembre 1942.
Son frère : Jeanfut condamné aux travaux forcés à perpétuité et mourut d’épuisement au Kommando d’Allach le 25 février 1945.
COIGNET Édouard
Né le 13 octobre 1910 à Oignies (Pas-de-Calais), fusillé le 26 septembre 1942 à Arras (Pas-de-Calais) à l'âge de 32 ans; surveillant aux mines de Dourges (Pas-de-Calais) ou journalier ; militant communiste ; FTPF.
Avant guerre, Édouard Coignet était militant actif du Parti communiste et sous l’Occupation, il continuait d’adhérer à l’organisation clandestine.
Recruté parAlphonse Flament(responsable du secteur de Courrières), il aurait été chef de groupe, chargé de rassembler les collectes des ouvriers en faveur des familles de prisonniers politiques, et responsable de la propagande, du recrutement et de la distribution du matériel.
Il hébergea aussi des illégaux commeSimon Cuirlik, Hilarionne Loison dite « Louisette »et s’impliqua dans quelques sabotages.
Suite à une dénonciation, Édouard Coignet fut arrêté le 28 juillet 1942 à Oignies par la gendarmerie française pour "menées bolchévistes et port d’armes".
Appréhendé par le commissaire Carvin, il était en possession d’un revolver.
Condamné à mort le 11 septembre 1942 par le tribunal militaire allemand OFK 670 d’Arras pour "détention d’armes et hébergement de terroriste en fuite", il a été fusillé le 26 septembre 1942 à 19 heures.
BEUDOT Germinal [Pseudonymes : Zef, Minal. Pseudonyme dans la clandestinité : Joseph]
Né le 25 avril 1922 à Harnes (Pas-de-Calais), fusillé le 28 octobre 1942 à Arras (Pas-de-Calais) à l'âge de 20 ans ; mineur ; militant communiste ; résistant, membre de l’Organisation spéciale (OS), puis FTPF à Harnes.
Germinal Beudot habitait sa commune natale, rue du Petit-Moulin au moment de la Seconde Guerre mondiale.
Membre de l’OS du Parti communiste qui deviendra FTP, Germinal Beudot entra dans l’illégalité en prenant la fuite le 13 août 1941, tandis que sa sœurLéonie,âgée de dix-sept ans, fut arrêtée plus tard et déportée à Anrath (Allemagne).
Germinal Beudot participa alors à de nombreux actes de résistance :
sabotage d’un pylône haute tension à Méricourt,
sabotage de voies ferrées à Izel-les-Esquerchin, Quiéry-la-Motte, Leforest, Avion et Vimy, attaque de la fosse 4 des Mines d’Ostricourt à Carvin le 25 décembre 1941,
cambriolage de quinze mairies dans le bassin minier,
attaque de la sous-station électrique de Bauvin,
tentative de sabotage de la station électrique d’Harnes,
vol d’explosifs à la poudrière de Beaumont-en-Artois,
attaque à main armée contre la gendarmerie de Carvin,
attentat contre deux sentinelles allemandes au Pont Césarine à Lens.
Avec Moïse Boulanger,Germinal Beudot fit partie de la célèbre équipe de Charles Debarge,présentée par l’occupant comme une bande de « malfaiteurs dangereux ».
Le 3 juin 1942, leur tête fut mise à prix et l’Écho du Nord annonça qu’une prime serait remise à quiconque fournirait des renseignements susceptibles de les arrêter.
Germinal Beudot participa aussi avecMoïse Boulanger, Charles Debarge, Henri Polletet Marcel Ledentà l’attaque de la prison de Loos le 12 janvier 1942.
Condamné à mort le 9 octobre 1942, Germinal Beudot fut exécuté le 28 octobre suivant à la citadelle d’Arras.
BOVE Alexandre
Né le 27 décembre 1910 à Avion (Pas-de-Calais), fusillé le 1er novembre 1943 à Arras (Pas-de-Calais) à l'âge de 33 ans ; manœuvre à la SNCF ; militant communiste, FTPF à Avion.
Marié et père d’un enfant, Alexandre Bove était domicilié au 25 rue Achille Prontier à Avion lorsqu’éclata la Seconde Guerre mondiale.
Sollicité par un camarade de travail, Jean Lestienne, Alexandre Bove entra dans l’organisation clandestine du Parti communiste fin 1941. Il acquit très vite des responsabilités dans la section d’Avion en remplaçant Jean Buisette, sous les ordres de Julien Leterme dit Antoine.
En avril 1942, Alexandre Bove fut dénoncé aux Allemands par une lettre anonyme qui le présentait comme un responsable de la propagande à Avion-centre. Interrogé le 9 avril 1942, il fut relâché, mais un nouvel ordre d’arrestation fut lancé contre lui le 15 avril 1942 ; Alexandre Bove avait cependant déjà pris la fuite lorsque les Allemands vinrent l’arrêter.
Après l’arrestation de Julien Leterme,le 30 avril 1942, Alexandre Bove entra dans la clandestinité et reprit contact avec le parti par l’intermédiaire de Frédéric Défontaine qui lui confia la responsabilité politique de la section de Liévin.
Son responsable de secteur était un prénommé « Alain » (sergent Albert). Ce dernier fit entrer Alexandre Bove dans les FTP, d’abord comme responsable du secteur « B » (Lens/Bully/Avion/Liévin/Loos-en-Gohelle) en 1942.
« Alain » devenu commissaire politique à la Région, passa à l’Interrégion et fut remplacé par Jules Wallers dit « Eugène », qui passa aussi à l’Inter-région, comme responsable militaire sous le pseudonyme de « Jules ».
Alexandre Bove occupa alors le poste de commissaire politique des FTP à la Région jusqu’au 1er mai 1943, date à laquelle des affiches parurent avec sa photo. « Eugène » l’envoya en Seine-Inférieure (Seine-Maritime) au même poste, puis Alexandre Bove devint délégué du Front national.
Il fut arrêté par les autorités allemandes à Rouen (Seine-Inférieure, Seine-Maritime) le 13 mai 1943 et reconnut avoir participé à cinq sabotages de septembre 1942 à janvier 1943, en avoir commandité neuf de septembre 1942 à mars 1943.
On lui imputa deux attentats contre les maires de Givenchy (Pas-de-Calais) et Bouvigny-Boyeffles (Pas-de-Calais) le 29 décembre 1942, ainsi que les attentats contre le docteur B. à Lens le 7 janvier 1943, contre le cantonnement Wallon de Calonne-Liévin le 18 mars 1942, ainsi qu’une participation à l’attentat contre le commissaire de Beuvry.
Alexandre Bove fut alors condamné à mort le 14 octobre 1943 par le tribunal de l’OFK 670 pour « avoir favorisé l’ennemi ou encouragé des menées bolchévistes, ainsi que pour détention d’armes prohibées » et a été fusillé le 1er novembre 1943 à 16 h 30 à Arras.
Une rue porte son dans la commune de Avions (62) et celle de Méricourt 62).
BOUTRY Oscar, Georges
Né le 21 mars 1900 à Vermelles (Pas-de-Calais), fusillé le 17 juin 1942 à Arras (Pas-de-Calais) à l'âge de 42 ans ; ouvrier zingueur ; militant communiste, résistant FTPF.
Issu d’une famille de dix enfants, Oscar Boutry était marié à Marcelle Deleplanque. Le couple avait cinq enfants.
Selon le rapport des Renseignements généraux de Béthune (Pas-de-Calais) daté du 19 février 1944, zingueur, débitant de boissons, domicilié à Cuinchy (Pas-de-Calais), rue Jean-Jaurès, Oscar Boutry reçut chez lui un individu se disant anglais à qui il donna à manger à plusieurs reprises.
Il intervint auprès de sa voisine Madame Savary pour faire héberger cet étranger et au cours de la conversation il fut question d’installer un poste émetteur dans la cave de cette dernière.
L’Anglais, connu de la plupart des habitants, fut appréhendé le lendemain de son arrivée chez Madame Savaryet celle-ci, arrêtée à son tour, dénonça Oscar Boutry qui ne contesta pas les faits.
Il fut arrêté le 24 avril 1942 et condamné à mort le 4 juin 1942 par le tribunal militaire allemand (OFK 670) ainsi que Madame Savary (qui vit sa peine commuée en travaux forcés).
Oscar Boutry a été fusillé le 17 juin 1942 à 20 h 10 dans les fossés de la citadelle d’Arras.
C est mon arrière grand pété et la grand mére
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