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Hommage aux fusillés et victimes civiles natifs de Bordeaux

CRASSAT Pierre, Jean

 

 

Né le 24 janvier 1918 à Bordeaux (Gironde), fusillé comme otage le 28 juillet 1942 au camp de Souge, commune de Martignas-sur-Jalle (Gironde) à l'âge de 24 ans ; inspecteur de police à Reims (Marne) ; militant radical-socialiste ; franc-maçon membre de la Loge La Vérité de Bordeaux ; résistant.

 

 

Fils de François Crassat, instituteur, et de Julia Nacarréau, corsetière, Pierre Crassat s’était mis à Bordeaux, avec son camarade Robert Jacob, au service du réseau de renseignement Jove, sous le pseudonyme Pit. Constitué à la fin de 1940 et rattaché à l’Intelligence Service, ce réseau fournissait à Londres des renseignements sur les installations allemandes.

 

 

Nommé inspecteur de police stagiaire, Pierre Crassat quitta Bordeaux pour rejoindre la 12e Brigade mobile de Reims.

 

 

En avril 1942, l’Abwehr entreprit de traquer tous les membres du réseau Jove dans plusieurs villes.

 

 

Suite à une dénonciation venant de Bordeaux, Pierre Crassat fut arrêté le 24 avril à l’hôtel de police de Reims, par la police allemande qui découvrit dans ses affaires une photographie et l’adresse de Robert Jacob à Bordeaux, qui fut arrêté à son tour le 27 avril.

 

 

Une souricière tendue au domicile de Robert Jacob aboutit à l’arrestation de plusieurs membres du réseau.

 

 

Transféré à Bordeaux et incarcéré au fort du Hâ, Pierre Crassat fut condamné à mort par le tribunal militaire allemand FK 529 siégeant à Bordeaux le 6 juillet 1942, avec d’autres membres du réseau.

 

 

Gracié le 17 juillet, il a été finalement fusillé comme otage le 28 juillet 1942 avec plusieurs de ses camarades, dont Robert Jacob et son père René, au camp militaire de Souge, sur le territoire de Martignas-sur-Jalle.

 

 

À Martignas-sur-Jalle, le nom de Pierre Crassat figure sur la liste des fusillés du camp de Souge.

 

 

Dans la Marne, son nom est inscrit sur une plaque commémorative apposée dans la cour d’honneur de l’hôtel de police de Reims.

 

 

À Paris, il est gravé sur le Mur du souvenir du mémorial du Grand Orient de France 16 rue Cadet.

 

 

 

 

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GOUDAL Marc, Lucien, Pierre

 

 

Né le 29 septembre 1910 à Bordeaux (Gironde), mort en action le 26 août 1944 à Caudéran (Gironde)à l'âge de 34 ans  ; chauffeur- mécanicien, employé de la ville de Caudéran ;  F.F.I. - Groupe adjudant-chef RIOU

 

 

Il était le fils de Pierre Goudal et d’Anne Jean-Pierre. A l’issue de sa scolarité primaire, il fit un apprentissage de mécanicien puis s’engagea dans la marine marchande, mécanicien sur un paquebot de la Compagnie Générale Transatlantique, le « Gouverneur Général Jonnart », affecté au départ de Marseille, sur les lignes d’Afrique du nord.

 

 

Appelé pour le service militaire en octobre 1931, il quitta son métier de marin et devint à la fin de son service chauffeur mécanicien à la ville Caudéran (Gironde) dans la banlieue de Bordeaux. Il s’engagea par ailleurs comme pompier volontaire au service incendie de la ville de Caudéran.

 

 

Il avait épousé le 1er août 1931 Yvette, Marguerite Binquet (1908 - 2003). Ils eurent trois enfants.

 

 

Il s’engagea, dans la région de Bordeaux, dans la Résistance, rejoignant un groupe de l’OCM (Organisation Civile et Militaire), le groupe Riou à Caudéran, devenant l’adjoint de l’adjudant-chef Riou. 

 

 

En août 1944, la situation militaire de l’armée allemande sur le front de l’ouest se dégrada brutalement. Le 19 août un ordre de repli général fut donné aux unités allemandes stationnées dans le sud-ouest. Le commandement allemand prit alors la décision de détruire par explosif les infrastructures portuaires de Bordeaux, et d’obstruer l’estuaire, en coulant près de 200 navires dans la Garonne (elle restera impraticable jusqu’en 1949). La destruction de la zone portuaire prévue aux environs du 25 août fut rendue impossible par le sabotage et l’explosion le 22 août à l’initiative d’un soldat allemand du bunker de la rue Raze, à Bacalan, qui contenait tout le stock d’explosifs de l’armée allemande. Les troupes allemandes évacuèrent la ville, en abandonnant leur plan de destruction massive, les 26 et 27 août (Bordeaux fut totalement libérée le 28 août 1944).

 

 

Le 26 août, les groupes de résistants reçurent l’ordre du commandement FFI de s’emparer des édifices publics et de prendre le contrôle des lieux stratégiques. Ce fut dans ces circonstances que fut tué ce même jour à Caudéran, Marc Goudal qui commandait le détachement, en même temps que deux camarades, Robert Chaussat et Maurice Ordonnaud,. Un rapport du responsable FFI de Caudéran au Général commandant la région " B ", daté du 8 septembre 1944 précise les faits :

 

« J’ai l’honneur de vous rendre compte de ce que le vendredi 25 août 1944 nous avons reçu l’ordre écrit de nous emparer des édifices publics de le ville de Caudéran, (Mairie, Pergola, Centre de Ravitaillement, Bureau de Poste, Commissariat) à 20 heures. Par la suite nous avons reçu contre-ordre, l’opération étant renvoyée au lendemain 8 heures.

 

Le samedi 26 août 1944, ayant réuni les groupes F.F.I. du capitaine Faulat, du lieutenant Colas, de l’adjudant- chef Riou et de M. Vigé nous avons dirigé nos différents groupes, à savoir : le groupe Riou sur la mairie le groupe Faulat sur la Poste, le groupe Colas sur la Pergola et le groupe Vigé sur le commissariat. A 8 heures du matin, le drapeau tricolore flottait sur les édifices.

 

Par la suite, l’adjudant-chef Riou, ayant appris que les Allemands avaient laissé du lait Nestlé dans l’un de leurs cantonnements, envoya vers 10 heures 30 l’ambulance municipale montée par 8 hommes dont Goudal Marc, Ordonneau Maurice, Chaussat André, tous F.F.I. du groupe Riou, pour procéder à l’enlèvement de cette marchandise.

 

Revenant de leur mission, le détachement se rencontra avenue d’Eysines avec deux patrouilles Allemandes, qui sans provocation de leur part, ouvrirent le feu sur la voiture qui était pourvue des insignes de la Croix rouge. Le conducteur de la voiture, Ordonneau fut tué sur le coup d’une balle en plein cœur, tandis que Goudal et Chaussat qui descendaient étaient abattus sur la chaussée. Goudal grièvement blessé fut transporté à l’hôpital Saint André où il décéda peu de temps après son entrée dans cet établissement, cependant que Chaussat était abattu sur place ». 

 

 

Homologué FFI, il obtint la mention mort pour la France et son nom figure sur les monuments aux morts de Caudéran et du Bouscat.

 

 

Il reçut la Croix de guerre 1939-1945 à titre posthume, remise à son fils aîné Gérard, le 26 août 1945.

 

 

Un monument fut dressé à sa mémoire et à celle de ses deux camarades tués avec lui, après la guerre à Caudéran, devant le 206 avenue d’Eysines, avec l’inscription :

 

"Ici sont tombés sous les balles allemandes - Passant n’oublie pas".

 

 

 

 

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KOENIGSWERTHER Philippe, Georges, Léopold

 

 

Né le 21 juillet 1918 à Dinard (Ille-et-Vilaine) ; exécuté sommairement le 1er septembre 1944 au camp de Natzweiller-Struthof, à Natzwiller (Bas-Rhin) à l'âge de 26 ans ; officier de la France Libre ; résistant BCRA, réseau SR Alliance.

 

 

Philippe Koenigswerther, issu d’une famille d’origine juive, était le fils d’Albert Léopold, négociant, de nationalité belge, âgé de 39 ans et de Grace King, sans profession, âgée de 33 ans, domiciliés à Paris XVIe arr. Il était célibataire. 

 

 

Philippe Koenigswerther s’engagea en juillet 1940 auprès du général de Gaulle, à Londres. Il fut intégré au Bureau central de renseignements et d’action (BCRA) après sa formation en juillet 1941 et devint capitaine au 1er Régiment de Parachutistes SAS de la France libre. Volontaire, il fut parachuté plusieurs fois en France où il accomplit de nombreuses missions.

 

 

En 1942, Il fut arrêté et incarcéré à la prison du fort du Hâ, à Bordeaux, d’où il parvint à s’échapper et à rejoindre à nouveau l’Angleterre. Parachuté en Dordogne le 15 septembre 1942 pour une autre mission, il ne put l’accomplir, atterrissant au mauvais endroit, et il dut abandonner son poste émetteur.

 

 

Il fut recueilli à Marseille par le docteur Claude Zimmern, avec qui il avait des liens de parenté et dont la villa servait d’emplacement de poste et de lieu d’hébergement. Il fut présenté à Marie-Madeleine Bridou (Fourcade), chef du réseau de renseignements militaires "Alliance", à laquelle il proposa ses compétences pour continuer sous ses ordres la mission qui lui avait été assignée par le BCRA sur la côte Atlantique. Après s’être assurée auprès de l’Intelligence Service qu’elle pouvait lui faire confiance, elle l’envoya à Sarlat auprès du colonel Kauffmann, accompagné de Roger Delille "Caniche", adjoint de ce dernier. Le colonel lui fit passer la ligne de démarcation caché dans un tender de locomotive conduite par un résistant du réseau Alliance Pierre Audevie et Philippe Koenigswerther devint ainsi sous les pseudonymes "Genêt" puis "Mandrille" et le matricule N10, chef du secteur de Bordeaux-La Rochelle sur la zone "Hangar".

 

 

Il effectuait le repérage des entrées et sorties de sous-marins sur la base de Bordeaux et les renseignements qu’il fournissait à Londres étaient très appréciés. Il repéra notamment des bateaux japonais qui avaient déjoué les systèmes de surveillance navale des alliés et permit ainsi à un commando anglais de venir les couler en posant des mines magnétiques sur leurs flancs. Des bâtiments allemands furent également envoyés par le fond.

 

 

Philippe Koenigswerther recruta ensuite Jean Godet, capitaine de réserve et prisonnier de guerre libéré, qui très méfiant se renseignera avant d’accepter de devenir chef du secteur rochelais avec le pseudonyme "Antilope".

 

 

Après une dernière mission en Angleterre d’où il rentra le 1er décembre par vedette rapide, Il fut arrêté à Bordeaux le 8 décembre 1943 à la suite du démantèlement du réseau Alliance par l’Abwehrstelle et emprisonné au fort du Hâ, à Bordeaux puis conduit via Strasbourg à destination du camp de Schirmeck (Bas-Rhin), où il arriva par camion le 29 avril 1944. Il fut interné au block 10 avec les autres hommes du réseau. Son dossier d’accusation d’espionnage instruit par la Gestapo de Strasbourg dans le cadre de la liste des affaires n° 189 du 3 mai 1944 concernant également André Joriot, Martin Sabarots, André Soussotte, Pierre Audevie, Charles Boileaun Maurice Duprat et Jean-Henri Durant fut transmis le 7 juillet au Tribunal de guerre du Reich qui y apposa les tampons « Geheim » ( secret) et « Haftsache » (affaire concernant des détenus) ainsi que la mention « NN » (Nacht und Nebel-Nuit et Brouillard).

 

 

Alors qu’il était remis ainsi que tous les autres accusés à disposition du SD de Strasbourg le 10 septembre, le drame s’était déjà joué car devant l’avance alliée les 106 membres du réseau Alliance détenus à Schirmeck, dont Philippe Koenigswerther, furent sur ordre du Haut commandement de la Wehrmacht (OKW) à Berlin, transférés en camionnette par fournées de 12 vers le camp de concentration du Struthof, où ils furent dans la nuit du 1er au 2 septembre 1944, abattus d’une balle dans la nuque à la chambre d’exécution puis incinérés directement dans le four crématoire du camp, situé dans le même bâtiment. 

 

 

Il fut homologué comme chargé de mission de 1ère classe de la DGER (Direction générale des études et recherches) avec le grade de capitaine.

 

 

Il obtint la mention "Mort pour la France" le 21 août 1946 et fut décoré à titre posthume de la Croix de guerre 1939-1945 avec Palmes, de la croix de chevalier de la Légion d’honneur et de la Médaille de la Résistance avec rosette le 13 octobre 1946.

 

 

Il existe un cénotaphe à son nom au cimetière de Passy, à Paris 16e arr. avec une plaque portant l’inscription : « à la mémoire de notre bien-aimé ». 

 

 

Une rue de Bordeaux porte le nom de capitaine Koenigswerther. 

 

 

Son nom figure sur la plaque commémorative du réseau Alliance, à l’entrée de la base sous-marine à Bordeaux, avec une citation de Marie-Madeleine Fourcade concernant les membres bordelais du réseau :

 

"Leur sacrifice a permis de renseigner le Commandement Allié sur les mouvements des navires militaires allemands, sous-marins et torpilleurs arrivant et partant de l’Arsenal de Bordeaux. Bientôt, on ne saura plus ce qu’ils ont fait, ni pourquoi ils l’ont fait, même si c’était nécessaire de le faire, voire on les plaindra d’être morts pour rien. Je voudrais qu’on ne les oubliât pas et que l’on comprît surtout quelle était la divine flamme qui les animait... Madame Marie-Madeleine Fourcade (Hérisson) ».

 

 

Il figure aussi sur la plaque commémorative de l’école libre des Sciences politiques, à Paris 7e arr. et sur la plaque commémorative du camp de concentration du Struthof - réseau S.R. Alliance à Natzwiller (Bas-Rhin).

 

 

 

 

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ALLO Roger, Constant, Joseph

 

 

Né le 7 mai 1906 à Saint-Nazaire (Loire-Inférieure, Loire-Atlantique), fusillé comme otage le 24 octobre 1941 au camp de Souge, près de Bordeaux (Gironde) à l'âge de 35 ans  ; chaudronnier à Bordeaux ; syndicaliste et militant communiste ; volontaire en Espagne républicaine.

 

 

Fils d’un marin, frère de Régibe Allo et de Louis Allo, Roger Allo fut embauché aux Chantiers du Sud-ouest à Bacalan puis licencié en 1928, il trouva un emploi dans une entreprise automobile.

 

 

Il avait rejoint le mouvement communiste en 1925, propagandiste éloquent des Jeunesses communistes. Il était, en 1929 et 1930, secrétaire du syndicat unitaire des Métaux de Bordeaux. Au IVe congrès de la 13e Union régionale, tenu en août 1929 à la Bourse du Travail, il présenta avec son frère  Louis Allo, un rapport sur les Assurances sociales. En mai de la même année, il avait été candidat aux élections municipales de Bordeaux sur la liste communiste.

 

 

En janvier 1930, la XIXe Entente des Jeunesses communistes comprenait un conseil de trois membres : Roger Allo, Charles Lahousse et André Vrigneaud.

 

 

Lors de la conférence des 15 et 16 février 1930, Roger Allo fut élu membre du comité régional du Parti communiste, pour l’année en cours, mais en février 1931, il fut exclu pour indiscipline, avec une dizaine de militants de Bordeaux. Sans doute fut-il réintégré peu après. Secrétaire du Secours Rouge international, il participa à l’organisation de la solidarité pour les républicains espagnols.

 

 

En 1936, il combattit en Espagne dans les Brigades internationales ainsi que son frère  Louis Allo et rentra en mai 1938, ayant une période militaire à effectuer.

 

 

Arrêté le 22 novembre 1940 par la police française, en application du décret du 18 novembre 1939, il fut interné au centre de séjour surveillé de Bordeaux (camp de Mérignac).

 

 

Le 24 octobre 1941, Roger Allo était au nombre des cinquante otages fusillés par les Allemands au camp de Souge, près de Bordeaux, en représailles à l’exécution par les patriotes d’un officier des troupes allemandes d’occupation.

 

 

 

 

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Sources photos : Maitron - Aurélie DE LA SELLE/MémorialGenweb – Françaislibres.net – Mauricette Laprie/Maitron - Jean-Daniel Gaudais - Maryse SALANON pour Rail & Mémoire -fusilles-souge.asso.fr – La Résistance en Gironde - Pierre Antoine GOMEZ/MémorialGenweb – Mémoirevive - Pierre Antoine GOMEZ/ MémorialGenweb -Daniel SUSAGNA/MémorialGenweb – Généawiki – La Dépêche.fr - .malgre-nous.eu – infonormandie.com - MémorialGenweb – Jean-Luc DRON/ MémorialGenweb -reseaualliance – afmd-allier -Chantal BEZGHICHE / MémorialGenweb -