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Né le 13 décembre 1913 à Courcelles-lès-Lens (Pas-de-Calais), fusillé le 14 juin 1944 à Arras (Pas-de-Calais) à l'âge de 31 ans ; ouvrier mineur ; militant communiste ; résistant FTPF.
Auguste Richard, marié à Mireille, Jeanne d’Arc, était domicilié à Billy-Montigny (Pas-de-Calais), rue d’Anocerre. Il avait cinq enfants.
Peu après l’annonce du débarquement en Normandie, plusieurs centaines de jeunes FTPF du bassin minier du Pas-de-Calais entreprirent, à pied, de rejoindre le « maquis des Ardennes » ; ils étaient très peu armés et dépourvus de toute expérience du combat.
Trente-quatre furent tués par des unités de la Wehrmacht qui les interceptèrent au bois de Bourlon (Pas-de-Calais), près de Cambrai (Nord). Les autres Francs-tireurs et partisans français (FTPF), arrêtés dans les parages, furent traduits devant le tribunal militaire d’Arras qui siégea alors en accéléré.
Quarante-quatre furent fusillés les 14 et 18 juin 1944 dans les fossés de la citadelle d’Arras. Leurs corps, encore revêtus de leurs bleus de travail et jetés sans sépulture dans une fosse commune, ont été découverts à la libération de la ville.
Une centaine des autres condamnés fut déportée dans les camps de concentration. Bien des incertitudes demeurent sur l’origine des ordres qui avaient été donnés pour cette opération.
Auguste Richard, engagé dans cette marche avec son groupe, fut arrêté le 10 juin 1944, à Dury (Somme), pour "menées communistes". Condamné à mort le 11 juin 1944, il a été fusillé le 14 juin 1944 à 20 h 50.
Né le 2 février 1912 (lieu inconnu), fusillé le 17 juillet 1944 à la citadelle d’Arras (Pas-de-Calais) à l'âge de 32 ans ; instituteur ; militant socialiste ; résistant membre du réseau Libération-Nord.
Né le 2 février 1912, Octave Legrand adhéra très tôt aux Jeunesses socialistes.
Nommé instituteur à Noyelle-Godault (Pas-de-Calais) à sa sortie de l’École normale d’Arras, il exerça ensuite à Hénin-Liétard (aujourd’hui Hénin-Beaumont, Pas-de-Calais).
Âgé de vingt ans à peine, il prit une part active à la campagne de Raoul Évrard à la veille des législatives de 1932 et créa en 1934 une « école socialiste » à Carvier.
Secrétaire fédéral des Jeunesses socialistes du Pas-de-Calais, Octave Legrand s’intéressa également à la coopération.
Directeur-gérant de la coopérative ouvrière « La Prévoyance des prolétaires » d’Hénin-Liétard après la mort, en 1935, d'Henri Leclercq, dont il avait été l’adjoint depuis plusieurs années, Legrand fut élu membre du conseil fédéral des coopératives du Nord et membre du comité national de 1938 à 1940.
Il participa aux travaux de la commission fédérale des boulangeries coopératives en 1938.
Démobilisé après la débâcle de 1940, Octave Legrand appartint pendant l’Occupation au réseau de résistance Libération-Nord.
Arrêté par les Allemands le 8 juin 1944, il a été fusillé à la citadelle d’Arras le 17 juillet.
Une école maternelle porte son nom à Hénin-Beaumont (62).
HAUDIQUET Georges, René
Né le 9 juillet 1905 à Étaples (Pas-de-Calais), fusillé le 14 mai 1942 à Arras (Pas-de-Calais) à l'âge de 37 ans ; prêtre ; résistant au sein de l’Organisation civile et militaire (OCM).
Georges Hautiquet était prêtre et demeurait à Beussent (Pas-de-Calais).
Le 16 août 1941, un avion de chasse britannique atterrissait sans trop de dommages sur le territoire de la commune de Beussent. Le pilote s’enfuit. Les enquêtes pour retrouver sa trace, menées par les services municipaux de Beussent ainsi que par la Feldgendarmerie, demeurèrent sans résultat, quoique poursuivies pendant plusieurs jours.
Vers la fin janvier 1942 (ou le 21 février 1942, selon les sources), Georges Haudiquet fut arrêté par les services de la Feldgendarmerie pour "hébergement de soldats anglais et pour avoir favorisé leur activité" ainsi que Alfred Chevalier, du village voisin d’Alette.
C’est par la rumeur publique que l’on put établir une certaine corrélation entre les deux faits et que l’on déclara que Haudiquet et Chevalieravaient hébergé et ravitaillé le pilote anglais.
Suite à ces accusations ils furent condamnés à mort le 28 avril 1942 par le tribunal militaire OFK 670 d’Arras.
Malgré les interventions de l’ambassadeur de France, secrétaire d’État auprès du gouvernement, délégué général du gouvernement dans les territoires occupés, Georges Haudiquet a été fusillé le 14 mai 1942 à 19 h 30 dans les fossés de la citadelle d’Arras.
CARO Jean
Né le 8 avril 1901 à Mouvaux (Nord), fusillé le 24 juillet 1942 à Arras (Pas-de-Calais) à l'âge de 41 ans ; ajusteur ; secrétaire de la cellule communiste de Carvin (Pas-de-Calais).
Fils de Joseph et de Serruys Esther, Jean Caro était marié à Yvonne Damiens, avait deux enfants et était domicilié chemin de Wacheux à Carvin.
Secrétaire très actif de la cellule de Carvin avant la guerre, il entra dans l’organisation illégale du Parti communiste au moment de sa dissolution.
Sous l’Occupation, Jean Caro prit la fuite le 10 octobre 1941 et vécut dans la clandestinité sous le nom d’André Dubois. Recruté par Frédéric Defontaine, il fut mis en relation avec « Abel », lequel lui confia les fonctions d’agent de liaison entre les secteurs de Lens et d’Hénin-Liétard, et, semble-t-il, les secteurs « B » et « C ».
Il fut chargé de collecter les rapports des différents secteurs pour les remettre au responsable « O » [Organisation] de la région. À ce titre, Jean Caro était en liaison directe avec Charles Debarge.
Avec son ami Émery Bulcourt, Jean Caro participa aussi à des actions de sabotage : l’attaque de la fosse 4 des Mines d’Ostricourt à Carvin, le cambriolage des mairies d’Estevelles, Wingles et Billy-Montigny et le sabotage de la sous-station électrique de Bauvin.
Jean Caro échappa à l’arrestation alors qu’il se trouvait chez Émery Bulcourt, mais fut arrêté le 3 avril 1942 par la 2e brigade de police de sûreté de Lille à Loison-sous-Lens suite à une dénonciation.
Repris par les Allemands, il fut condamné à mort le 8 juillet 1942 et fusillé le 24 juillet 1942 par le tribunal OFK 670 d’Arras à Arras à 7 h 15.
Il parviendra, durant sa détention à la prison Saint-Nicaise, à transmettre un ultime message à Charles Debargele 16 juillet 1942 :
« Je t’envoie mes dernières pensées, que tu transmettras aux copains. Nous allons mourir, nous n’avons pas peur, seulement un seul regret : celui de ne pas voir se réaliser le rêve pour lequel nous avons tout donné, mais nous avons une joie quand même dans la certitude de notre victoire. »
DOURNEL Voltaire
Né le 12 janvier 1913 à Oignies (Pas-de-Calais), fusillé le 23 octobre 1942 à Arras (Pas-de-Calais) à l'âge de 29 ans ; militant communiste ; FTPF.
Militant actif du Parti communiste avant guerre, Voltaire Dournel fut blessé lors des combats de mai-juin 1940 et mutilé à 100 %.
Prisonnier de guerre, Voltaire Dournel revint en septembre 1941 et adhéra de suite à l’organisation clandestine du Parti communiste qui le chargea entre autres de reconstituer les Jeunesses communistes de Libercourt.
Arrêté le 28 juillet 1942 par la police de Carvin, Voltaire Dournel fut remis aux autorités allemandes et détenu à Arras.
Condamné à mort pour activités communistes le 12 octobre 1942, Voltaire Dournel fut exécuté le 23 octobre 1942 à la citadelle d’Arras.
DENIS Léonce
Né le 5 juin 1923 à Évin-Malmaison (Pas-de-Calais), fusillé le 14 juin 1944 à la citadelle d’Arras (Pas-de-Calais) à l'âge de 21 ans; mineur ; résistant, membre des FTPF. Célibataire, Léonce Denis résidait à Billy-Montigny (Pas-de-Calais). Il entra au sein du groupe FTPF de Billy-Montigny (1re compagnie, 3e bataillon) au mois d’avril 1944.
Il fut arrêté, alors que son groupe était en route pour rejoindre le maquis de Bourlon, le 10 juin 1944 à Dury (Pas-de-Calais), les armes à la main, par les autorités allemandes pour « menées communistes ».
Condamné à mort le 11 juin 1944 par le tribunal militaire allemand d’Arras (OFK 670), Léonce Denis a été fusillé le 14 juin 1944 à la citadelle d’Arras (Pas-de-Calais).
ÉDOUARD René
Né le 8 mai 1921 à Hénin-sur-Cogeul (Pas-de-Calais), fusillé le 22 décembre 1943 à Arras (Pas-de-Calais) à l'âge de 22 ans ; mécanicien ; résistant au sein du réseau War office (WO).
Il résidait à Hénin-sur-Cojeul (Pas-de-Calais) et fut arrêté le 27 novembre 1943 dans le Pas-de-Calais par la Geheimfeldpolizei (GFP) d’Arras pour "détention et fournisseur d’armes aux organisations de résistance ".
Condamné à mort le 22 décembre 1943 par le tribunal militaire allemand FK 678 de Lille (Nord), René Édouard a été fusillé le 22 décembre 1943 à Arras.
Son non à été donné à une rue de Hénin-sur-Cogeul (62).
DELOBEL Louis
Né le 14 février 1914 à Noyelles-Godault (Pas-de-Calais), fusillé le 29 septembre 1942 à Arras (Pas-de-Calais) à l'âge de 28 ans ; mineur ; militant communiste ; membre des FTPF à Noyelles-Godault.
Fils de Louis Delobel, houlleur, et de Léonie Jolis, ménagère, Louis Delobel s’était marié le 27 juin 1936 à Noyelles -Godault (Pas-de-Calais) avec Renée Rollez. Il faisait partie de la cellule communiste de la fosse 4 des mines de Dourges, avec laquelle il militait avant guerre.
Au début de l’année 1942, sur le point d’être arrêté par les autorités allemandes, Louis Delobel prit la fuite et rejoignit les FTP dans l’organisation clandestine du Parti communiste, sous le commandement de Charles Febarge.
Il participa au cambriolage des mairies de Camblain, Houdain et Ferfay durant le mois d’avril 1942 et fit partie du groupe chargé du vol d’explosif à la poudrière de Beaumont-en-Artois le 29 septembre 1941.
Louis Delobel fut arrêté le 25 août 1942 à Vimy (Pas-de-Calais) par la Feldgendarmerie pour "activité bolchévique, détention d’armes, agression contre la Wehrmacht".
Condamné à mort le 18 septembre 1942 par le tribunal militaire allemand d’Arras (OFK 670), il a été fusillé le 29 septembre 1942 à la citadelle d’Arras.
Son frère Joseph avait été exécuté le 23 juillet 1942.
Son épouse, Renée Rollez,fut arrêtée le 19 août 1943 pour "menées communistes".
REEVE Kant, William
Date et lieu de naissance inconnus, fusillé le 12 juillet 1944 à Arras (Pas-de-Calais) ; nationalité britannique.
Kant Reeve fut arrêté à une date et en un lieu inconnus pour "aide à l’ennemi, détention d’armes et sabotage".
Condamné à mort le 8 avril 1944 par le tribunal militaire allemand (OFK 670) d’Arras, il a été fusillé le 12 juillet 1944 à Arras.
Sources