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Par france, le 25.10.2025
bonjour,lorsqu 'on parle de la rafinière on pense bien sur au gl rivaud et ce ,à juste titre mais on oublie to
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stephane lagache petit fils par ma grand mere de charles debarge
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fa brice d'audrieu
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HONTANGS Arnaud, Émile, René
Né le 11 mai 1892 à Bordeaux (Gironde), fusillé le 13 octobre 1943 au camp de Souge, commune de Martignas-sur-Jalle (Gironde)à l'âge de 51 ans suite à une condamnation à mort ; manœuvre ou gardien de nuit.
Fils de Sylvain Hontangs, coiffeur, et de Marie Loustal, Arnaud Hontangs était manœuvre, ou gardien de nuit, selon les sources. Résident du Bouscat (Gironde), il s’était marié le 20 décembre 1920 avec Henriette Montory à Villenave-d’Ornon (Gironde), puis avec Berthe Cornu, le 19 août 1933 à Cenon (Gironde). Il était père de quatre enfants.
Il fut arrêté au Bouscat par les autorités allemandes après avoir, semble-t-il, été coupable de « tentative de vol à main armée avec coups et blessures graves sur un soldat ».
Si les sources s’accordent sur cette tentative de vol et de meurtre, il demeure une ambiguïté sur les rapports d’Arnaud Hontangs aux autorités allemandes. En effet, les sources de la DAVCC semblent indiquer qu’il travaillait pour leur compte, tandis que le Comité du souvenir des fusillés de Souge évoque une possible appartenance aux Services spéciaux de la Défense nationale.
Condamné à mort le 7 septembre 1943 par le tribunal de la Kriegsmarine de Bordeaux, il fut passé par les armes le 13 octobre suivant au camp de Souge.
Son nom figure sur le monument aux morts du Bouscat, ainsi que sur le mémorial des fusillés de Souge, commune de Martignas-sur-Jalle (Gironde).
BOURON Jean-Pierre, Marie - Pseudonyme dans la Résistance : Bougie
Né le 1er novembre 1925 à Saint-Nazaire (Loire-Inférieure, Loire-Atlantique), exécuté sommairement le 1er août 1944 au camp de Souge (Gironde) à l'âge de 18 ans ; étudiant, reçu à Saint-Cyr ; résistant, membre de l’Organisation de Résistance de l’armée.
Fils de Charles, Louis, André Bouron, médecin-major des troupes coloniales, et de Pauline, Marie, Consolade Buja, Jean-Pierre Bouron vivait à Bordeaux (Gironde). Éleve de classe préparatoire aux Hautes écoles de commerce au lycée Montaigne, il fut reçu au concours d’officiers de l’école de Saint-Cyr. Néanmoins, celle-ci ayant été dissoute, il ne put en suivre les enseignements et se refusa à intégrer le 1er régiment de France, du gouvernement de Vichy, afin de ne pas servir le maréchal Pétain.
Membre de l’école des cadres de l’Organisation de la Résistance de l’armée (ORA), il constitua avec dix-neuf autres jeunes de la région un maquis qui se trouvait dans la ferme Richemont à Saucats (Gironde). Le 14 juillet 1944, alors qu’il s’était absenté quelques jours pour une permission, le maquis fut attaqué par une quarantaine de miliciens et une soixantaine de soldats allemands, qui frappèrent le camp à l’aide d’un canon de 105 mm. Les combats durèrent près de trois heures, et douze des quinze membres du maquis furent tués.
Jean-Pierre Bouron, revenant ce matin-là, fut quant à lui arrêté. Interrogé, torturé, il semble selon certaines sources qu’on lui ait alors proposé de lui laisser la vie sauve en échange de son engagement dans la milice. Il refusa et, le 1er août suivant, il fut passé par les armes au camp de Souge, sans procès.
Jean-Pierre Bouron a été enregistré à tort comme victime civile aux archives de la DAVCC de Caen.
Son nom figure sur plusieurs monuments de Bordeaux (monument aux morts de Caudéran, plaque commémorative du lycée Montaigne, monument commémoratif), sur le mémorial de Saucats, ainsi que sur celui du camp de Souge, à Martignas-sur-Jalle (Gironde).
FORTINSKY Jean-Michel
Né le 18 octobre 1921, exécuté sommairement le 19 avril 1944 au camp de Souge (Gironde)à l'âge de 22 ans .
On ne sait que très peut de chose le concernant :
Il aurait été arrêté dans la forêt de la Double le 27 mars ou la 4 avril, amené à Bor deaux pour subir le même sort que ses camarades
Il était domicilié à Bordeaux, caserne coloniale occupée par l’organisation Todt.
S’était-il évadé et réfugié en Dordogne ?
Sa qualité d’israélite l’a-t-elle désigné pour rejoindre les 6 autres victimes ?
C’est très probablement lui qui a été inhumé au cimetière israélite du cours de l’Yser à Bordeaux le 26 février 1945 sous le nom de Jean Fotinski avec l’indication sur le registre « Mort Pour la France ».
ITURBE-BILBAO Eugène
Né le 24 avril 1912 à Artuella Biscaya (Espagne), fusillé comme otage le 2 octobre 1943 au Mont-Valérien, commune de Suresnes (Seine, Hauts-de-Seine) à l'âge de 31 ans ; forgeron ; militant communiste.
Eugène Iturbe-Bilbao résidait au début des années 1940 à Bordeaux (Gironde) où il exerçait la profession de forgeron. Militant communiste, il était membre d’une organisation communiste clandestine chargée principalement de propagande.
Il fut arrêté le 28 septembre 1942 par la police française pour « activité communiste ».
Il fut interné au camp de Romainville (Seine-Saint-Denis) jusqu’au 29 novembre 1942 puis au camp de Compiègne (Oise) et à nouveau enfin au camp de prisonniers du fort de Romainville.
Suite à l’attentat perpétré le 28 septembre 1943 par le groupe Manouchian (FTP-MOI) contre le Dr. Ritter, envoyé en France par Fritz Saückel pour organiser les ponctions de main-d’œuvre au profit du Reich, une vague d’exécution de cinquante otages eut lieu en représailles début octobre.
C’est au sein de ce groupe que Eugène Iturbe-Bilbao a été fusillé par les autorités allemandes (en compagnie en particulier d’un autre militant communiste espagnol vivant à Bordeaux,Léopold Huerta, le 2 octobre 1943 au Mont-Valérien.
HUERTA Léopold
Né le 6 mai 1918 à Madrid (Espagne), fusillé comme otage le 2 octobre 1943 au Mont-Valérien, commune de Suresnes (Seine, Hauts-de-Seine) à l'âge de 25 ans ; mécanicien ; militant communiste.
Léopold Huerta résidait au début des années 1940 à Bordeaux (Gironde), où il exerçait la profession de mécanicien.
Militant communiste, il était membre d’une organisation communiste clandestine chargée principalement de propagande.
Il fut arrêté le 8 août 1942 par la police française pour « menées communistes et distribution de tracts ».
Il fut interné au camp de Romainville (Seine, Seine-Saint-Denis) jusqu’au 28 novembre 1942 puis au camp de Compiègne (Oise) et à nouveau enfin au camp de prisonniers du fort de Romainville.
Suite à l’attentat perpétré le 28 septembre 1943 par le groupe Manouchian (FTP-MOI) contre le Dr. Ritter, envoyé en France par Fritz Saückel pour organiser les ponctions de main-d’œuvre au profit du Reich, une vague d’exécution de cinquante otages eut lieu en représailles début octobre.
C’est dans ce contexte que Léopold Huerta a été fusillé par les autorités allemandes (en compagnie en particulier d’un autre militant communiste espagnol vivant à Bordeaux, ITURBE-BILBAO Eugène le 2 octobre 1943 au Mont-Valérien.
POMIÈS Jean-Baptiste né Jean
Né le 19 février 1880 à Lahontan (Basses-Pyrénées, Pyrénées-Atlantiques), fusillé comme otage le 21 septembre 1942 au camp de Souge, commune de Martignas-sur-Jalle (Gironde)à l'âge de 62 ans ; cordonnier ; militant communiste dans la clandestinité.
Fils d’Antoine Pomiès, laboureur, et de Luce Vignau, ménagère, Jean-Baptiste Pomiès, cordonnier vivant à Bordeaux (Gironde), était marié et père de trois enfants. Les deux fils du couple moururent avant la guerre, l’un d’eux, membre des Brigades internationales, fut tué en Espagne et il ne leur resta plus que leur fille. Les deux époux, appelés affectueusement « le père » et « la mère Baptiste », militaient au Parti communiste.
Après l’interdiction de celui-ci, Jean-Baptiste Pomiès poursuivit son engagement militant. Sa boutique devint un lieu de passage de résistants et son logement un lieu d’hébergement clandestin. Il était alors membre d’une organisation clandestine de lutte armée, tandis que sa femme, Pauline, était membre du comité féminin de Bordeaux, qui dépendait du parti clandestin.
Dénoncés, les deux époux furent arrêtés le 7 août 1942, à quelques heures d’intervalle. Déportée à Auschwitz, Pauline Pomiès y mourut. Jean-Baptiste Pomiès fut quant à lui incarcéré au fort du Hâ ou au camp de Mérignac (Gironde).
Désigné comme otage par les autorités allemandes, il a été fusillé comme tel le 21 septembre suivant au camp de Souge, en représailles à l’attentat du cinéma Rex, à Paris.
Le nom de Jean-Baptiste Pomiès figure sur le monument aux morts de Talence (Gironde), ainsi que sur le mémorial des fusillés de Souge, commune de Martignas-sur-Jalle (Gironde).
Une rue de Talence (33) porte son nom.
RIFF Paul
Né le 14 novembre 1920 à Strasbourg (Bas-Rhin), fusillé le 28 mars 1944 au fort de Bondues (Nord) à l'âge de 23 ans ; membre du réseau Vélites Thermopyles.
Âgé de dix-neuf ans, Paul Riff s’engagea en 1939 comme volontaire dans l’armée française. Fait prisonnier de guerre en 1940, il fut passagèrement occupé au service d’architecture de la ville de Bordeaux (Gironde).
En tant qu’Alsacien, la Wehrmacht l’incorpora de force dans le bureau militaire de la ville de Strasbourg. Le 3 novembre 1943, il fut versé au 356e Bataillon de grenadiers à Prassnitz. Depuis le 3 décembre de la même année, il était porté déserteur de son unité.
Entre-temps, au milieu de l’année 1943, Paul Riff rejoignit le réseau de Résistance Vélites Thermopyles, en fournissant des renseignements par son emploi à Bordeaux.
Recherché comme déserteur de la Wehrmacht, il entra dans la clandestinité complète à la fin de l’année 1943. Il fut alors envoyé par son chef de secteur, Jean Danaux, sur les côtes du Nord, comme agent d’information volant.
Plus particulièrement chargé d’espionner les constructions spéciales allemandes dans la Somme, il fut arrêté le 11 février 1944 à Amiens (Somme). Blessé au cours du bombardement de la prison lors de l’opération Jéricho, il fut hospitalisé le 21 février, avant d’être à nouveau transféré, trois jours plus tard, à la citadelle de la ville.
Mais comme son activité résistante relevait de la compétence de « l’ange gardien des V1 », il fut envoyé à la prison de Loos-lès-Lille (Nord) pour comparaître devant le tribunal spécial du 65e corps d’armée.
Condamné à mort le 28 mars 1944, à la citadelle de Lille, il a été fusillé le même jour dans le plus grand secret au fort de Bondues en même temps qu’un certain Hubsch dont on ne sait rien à ce jour.
À la Libération, début septembre 1944, lors de l’exhumation des corps des soixante-huit fusillés du fort de Bondues, il y eut un inconnu à la fosse 63.
La découverte de son nom sur une liste des tombes permit soixante-dix ans plus tard qu’il soit enfin identifié.
Sources - Maitron - google map – MémorialGenwen – Collège Jean Auriac- fusilles-souge.asso.fr – Wikipédia – coordination de défense -sante En Mémoire Du Dr Charles NANCEL-PENARD janvier 2019 - afmd-allier
Sources photos : Maitron - Aurélie DE LA SELLE/MémorialGenweb – Françaislibres.net – Mauricette Laprie/Maitron - Jean-Daniel Gaudais - Maryse SALANON pour Rail & Mémoire -fusilles-souge.asso.fr – La Résistance en Gironde - Pierre Antoine GOMEZ/MémorialGenweb – Mémoirevive - Pierre Antoine GOMEZ/ MémorialGenweb - Daniel SUSAGNA/MémorialGenweb – Généawiki – La Dépêche.fr - .malgre-nous.eu – infonormandie.com - MémorialGenweb – Jean-Luc DRON/ MémorialGenweb - reseaualliance – afmd-allier -Chantal BEZGHICHE / MémorialGenweb - Mémorial national des marins morts pour la France – chautard.info – lyc-gosse-clermontlherault.ac-montpellier- Mémorial-alliance – Michuel Dailymotion -